L'immersion par l'agrégat
Aujourd'hui, je suis venu te parler de l'alcôve.
Hier, c'était demain, et déjà, déjà.
Peux-tu me regarder dans les fesses quand je te parle?
Et cesser de reluquer cette jeune garagiste hongroise?
Tu me dégoûtes.
Tu me donnes envie de brosse à poulet avec deux outres détruites.
A jamais.
Pour toujours.
Suce mon plâtre, baybé.
~___~
Chers amis de Correspondance et Crème battue.
J'ai encore aujourd'hui lu votre blog de drôlerie et de facétieuses galéjades, en mangeant du homard shériff. Fais-moi peur, je lui ai dit, il ne m'a pas voulu entendre raison, je l'ai bouffé.
Bouffé comme du bon boursin bien chaud. Sur des coussins de plumes de canard, je me régale, je glisse dans la réglisse.
LOL DE RIRE, me disais-je avant-hier, concernant votre note sur Dalida et Georges Marchais. Pensez-vous?
Car je crois.
Pis encore, je croasse.
Veuillez agréer une formule de police.
*__*
Chers amateurs de la région Franche-Comté, aujourd'hui nous accueillons la réalisation de Yannick, huit ans, amateur de grosses blacks vierges et non censurées.
Il a entièrement détruit un immeuble de type moyen avec une lampe de poche, pour ensuite écrire 112 poèmes sur la vie et tomber dans un profond coma.
Envoyez vos dons de sperme et de gâteaux secs à l'armée du monde, étage 7, porte pain d'épice.
En hommage à Patrick, le dernier de ses poèmes d'api :
" Longue, longue ma bite
Qui par la douce enfant s'effrite
Comme une bougie un soir d'été
A par le vent été soufflée
J'ai arrosé cette graine de vie
Avec la pommade de mon vît
Elle a pleuré, mais maintenant
Je vais déterrer sa Maman "