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Correspondance et crème fouettée
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4 juin 2010

L'iris de nos vieux jours

Cher Francis,

Je ne peux m'empêcher de te recopier ce passage de ce merveilleux livre que je viens de terminer. Il nous résume si bien. Il a été écrit en 1748 bleu, par un certain Janvier Pablino.

Bleu. Les couleurs pourpres sont bleues. Je n'ai jamais rêvé autant de singes depuis. Il y a longtemps entre ciel et arrogance j'ai mangé des cadres et je me pensais souvent en blanc et noir, comme ces pictures que tu see quand tu es happy. Je regardais ces étoiles avec un sentiment mêlé d'incrudilibibliothèque. Un sentiment fugace et harmonieux.

Dehors, les ventres et les paloutres s'accumulaient en divers points, afin de mieux réunir des divisions en fruits. J'avais peur de ne point me sentir horoscope indien, mais finalement, il n'en fut rien. Je me débrouillais bien, hein Pénélope ?

Les hivers ont passé, les pigeons ont coulé, et depuis, plus de nouvelles. No more heroes, comme disent les africains. Fribourg en josette, champion de pétanque de père en fruit. Beaucoup de nem, et peu de serpillères. Tu avais envie, mais tu ne pouvais pas. Et quand j'eu envie, c'est lui qui ne bruissait pas. Mouche qui mot n'amasse pas fric, fric qui muisse n'érouble pas gêne. Petite vue de Jules sur ton estredon déraillé, et il n'en fallut pas plus pour faire bon sur le côté un peu intellectuel de la plage.

Nous étions deux.

Michel Rocard.

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